Sœur Gonzague nous enseignait tous les éléments de base du savoir. Comme on peut le voir, mon p'tit cahier de l’année scolaire 1955-1956, si religieusement conservé, en apporte un très beau témoignage …
Puis, dans son autobiographie, (voir sur ce site l’article n°1 publié en novembre 2009, page 7) «Tonton Louis» rend également hommage à Sœur Gonzague lorsqu’il écrit : « … En attendant l’âge de rentrer à l’école primaire, je suis allé, à ce qu’on appelait communément la «petite école». Genre d’école maternelle dirigée par une religieuse, Sœur Gonzague. Sa cornette et surtout ses lunettes à verres ronds lui donnaient un air sévère et antipathique. Je me souviens de la forme de ses lunettes, car j’ai eu les mêmes. Je les trouvais si laides que je ne les ai pratiquement jamais portées. Peut-être sévère Sœur Gonzague, mais son enseignement très efficace ! Grâce à elle, à la fin de cette «petite école» nous avions déjà un petit bagage intellectuel que l’instituteur appréciait à notre arrivée à son école primaire, que nous, enfants appelions «la grande école», ou nous étions fiers d’aller le jour de la première rentrée. Par la suite nous apprécions plus ou moins ! Certain jour ce n’était pas la joie, car si sœur Gonzague était sévère, notre instituteur ne l’étais pas moins ! … » Un peu plus loin, «Tonton Louis» écrit que si son instituteur était aussi sévère que Sœur Gonzague, il précise «qu’elle n’en avait que l’air» !
Voir quelques pages de mon p'tit cahier - en fait il s’agissait d’un cahier normal qui était coupé en deux : souci d’économie ou taille adaptée aux petits enfants ? - en cliquant sur le mot > CAHIER
Voir quelques pages de mon p'tit cahier - en fait il s’agissait d’un cahier normal qui était coupé en deux : souci d’économie ou taille adaptée aux petits enfants ? - en cliquant sur le mot > CAHIER
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